La réforme des rythmes scolaires de Vincent Peillon, une façon de replacer l'élève au centre et non le confort parental ou le pouvoir du prof.
Vincent Peillon va t il réussir où tant de ses prédécesseurs ont échoué, c'est à dire à remettre l'élève au centre du projet éducatif? Non pas à donner le pouvoir à l'élève, ainsi que les malentendants "antipédagogistes" le comprennent, mais à se préoccuper du travail de l'élève, de la qualité de ce travail