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Le projet partagé ou le viol des consciences?

Le film « Les Choristes » voudrait-il démontrer que l'école sans projet c'est l'enfer, la violence, la prison, le sur place et qu'à l'inverse le projet entraîne (y compris dans une école aussi carcérale que celle du film) dans son mouvement vital et convertit à une discipline (adhésion) de fer  ceux qui semblaient les plus rebelles?

(Pour réflexion, une analyse très poussée, très au-delà du simple élément de rôle moteur apporté par un projet partagé utilisé dans cette note, et plutôt négative de ce film par Gérard Hernandez.)

Voici le plus bref et le plus percutant résumé éducatif que j'ai pu entendre :

« Les enfants, il faut rien mettre dedans .» ce qui s'entend aussi bien au sens propre qu'au figuré, ce qui donne force au sens figuré.

La discipline sans projet c'est vouloir mettre quelque chose dans les enfants alors que le projet, c'est vouloir faire partager une aventure, une expérience, sinon ce n'est pas un projet. Un projet est par essence partagé.

Tant d'enfants subissent depuis si longtemps dans tant d'écoles la discipline sans projet, tant qu'ils subissent cette discipline, nous la subissons aussi, ne les oublions pas. Quoi souhaiter de plus pour les élèves qu'on n' oublie pas le projet partagé à l'école?

Commentaires

  • joli mais idealiste :)

    faudrait changer tous les profs :) et leur apprendre enfin ce qu'est le metier ..

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